Il m'arrive certaines fois d'entre invité par différentes danseuses au cours de la même soirée, c'est très agréable d'un part et très soulageant de l'autre, car, en tango argentin, un règle vieillotte, telle que m'a été expliqué en cours collectif par des profs tant français qu'argentins o irlandais depuis que je me suis lancé dans le tango en février 2009, dit que ***nous les hommes n'avons absolument pas du tout le moindre droit d'inviter une femme*** une fois passés les 30 premières secondes du premier morceau de la tanda de 4 morceaux de tango (3 morceaux pour la valse argentine ou la milonga).
Selon cette règle vieillotte, si nous attendons d'avantage, nous les hommes (et attention, ***exclusivement les hommes !***) serions en train de "faire injure" aux danseuses pour les avoir mises dans la situation embarrassante où elles angoissent de ne pas s'être fait inviter tout de suite, restant donc exposées aux regards mesquins et méchants d'autres danseuses et d'autres danseurs, ou les regards lubriques des 2-3 requins de piste qui comparent les attributs physiques des différentes danseuses restées en rade.
Personnellement, cette règle me paralyse car je crains de vexer la danseuse que j'ai osé invité au delà des 30 premiers secondes du morceau.
Mais les femmes dont j'ai systématiquement accepté les invitations (quelque que fut leur âge, parfois très avancé, ou leur caractère par très sympathique, ou leur niveau parfois très en dessous du mien, ou leur physique, parfois pas agréable du tout, ou leur hygiène corporelle [bouche, aisselles, et autres]), ne faisaient aucun cas de cette règle, et pouvaient m'inviter bien au-delà des 30 premiers secondes du 1er morceau, par exemple lors du 2e, voire le 3e morceau.
Par conséquent, la conclusion que je tire est que cette règle vieillotte de "pas plus de 30 secondes pour inviter une danseuse" devrait être définitivement supprimée de la bouche des profs et plus aucune danseuse ne devrait nous faire le reproche aux danseurs (comme ça m'est arrivée quelques fois, et je ne suis pas le seul) d'être limites "goujats" de les faire attendre et de les comparer avec d'autres, et d'autres reproches du même acabit En 2018, juillet, l'égalité devrait s'appliquer par égal aux danseuses et aux danseurs, mais je constate qu'une minorité de danseuses .persiste à réclamer pour elles des "privilèges" qui n'ont plus raison d'être. Elles se comportent en petites tyranes de la piste, et ne méritent pas le titre de "dames"