Hello, bravo pour cet article. Je pratique les danses latine depuis deux ans ; cette année je me concentre sur la Bachata.
J'adore les rythmes de Kizomba, mais le côté collé/serré exige une très bonne maîtrise des différentes figures : cette danse demande une proximité, une sorte de symbiose, d'alchimie entre les 2 partenaires. Pour moi, c'est plus une danse à pratiquer en couple.
J'apprécie le respect de la majorité des messieurs, des règles de respect, d'amabilité et voire de galanterie, qui accompagnent ces danses. Hélas, il reste des danseurs qui font fi de la plupart de ces convenances et c'est bien dommage.
Il faut garder à l'esprit que , tous, un jour, ont été débutants ! Que pour se perfectionner les cours sont insuffisants ; ce n'est qu'avec la pratique sur le dance floor que l'on progresse ; la variété de partenaires amène à l'apprentissage puis la maîtrise de la danse.
Idem pour les danseuses : il est bienséant de "partager" son partenaire ; ce n'est pas un speed dating ; la danse est et reste une passion, un plaisir, un partage ... avec le sourire et dans la bonne humeur, une attitude "sportive". La jalousie et le monopôle de son danseur n'ont pas leur place aux soirées. Inutile d'aller "en soirée" si l'on veut rester "en couple".
Je pense et surtout j'espère que ce style d'article interpelle les personnes concernées ... et rassure celles et ceux qui s'y reconnaissent , qui quelques fois n'ont qu'une idée, celle d"abandonner !
Sportivement vôtre, Mimi