D'accord avec AGiani sur le côté déshinibition modérée/contrôlée de l'alcool. Il permet souvent à des personnes moins à l'aise avec le regard extérieur de danser. Simplement danser.
Bon alors attention, je parle en autodidacte pété du crâne qui a réussi à mettre un peu d'intérêt à faire cuicine/lave-vaisselle/ménage (homme au foyer inside) en comptant jusqu'à huit, rétrécissant ses mouvements et restant sur le tempo... on est d'accords, on ne parle pas des rats de l'opéra.
En même temps, j'ai envie de dire qu'on s'en bat les reins d'avoir un partenaire "à la hauteur"... en tant que débutant, j'ai été frappé par la bienveillance des excellents danseurs (les vrais de vrais) qui ont d'une été capable de me faire croire que je peux être un partenaire décent pour elles/eux et de deux de me faire comprendre qu'avec un peu de courage, le simple fait d'avoir l'intention de danser te rend danseur. Ensuite, c'est la même chose qu'être bilingue et parler couramment deux langues. Pour être bilingue, peu importe le niveau... warau kado ni ha fuku kitaru me rend bilingue français-japonais, seni sevi yorum, trilingue turc... la seule langue que je parle couramment en plus du français est l'anglais.
Alors oui, je suis danseur. Est-ce que je parle vraiment bien la danse ? Rien de moins sûr. est-ce que j'aime danser ? C'est certain. De toutes les personnes que j'ai croisées et qui savent (au sens de parlent couramment) la danse, c'est le dernier point qui est important...
et je ne connais que les pas de base de la kizomba, du tango argentin et de la bachata.
Ah oui : bisous !