Bonjour
Le tango argentin, snob ? Oui est non ? Il y a un temps pour tout.
Je parle en connaissance de cause, j'ai commencè le tango argentin le 24 septembre 2015, tout en sachant que depuis le début, je suis resté 5 mois sans danser, mais avec 50 heures particulières et une cavalière rémunérée ( durant 6 mois 2 cavalières rémunérées pour travailler, en core maintenant toujours une avec qui je travaille 1 heure par semaine ) mes progrès ont été rapides. Tout cela pour dire que tout dépend où l'on se situe dans l'échelle " sociale " du tango.
Vu de nos yeux de débutant, le tango peut paraître snob. Débutant, une situation que je ne souhaite à personne, mais passage obligé pour tout le monde, passage très douloureux, de toute ma vie, je n'ai pas connu de situation aussi difficile, frustrante, enfin vous savez.
Ensuite, lorsque l'on sort de ce statut ( toutes proportions gardées, je suis encore débutant ) et que l'on prends de l'assurance, pour moi elle s'est traduit par le fait de danser en abrazo milonguéro à partir du 15 janvier 2017 ( après un an de travail ). Et oui lorsque l'on prends de l'assurance et que toutes les femmes vous disent que votre tango est doux agrable, simple, qu'il n'est pas nécessaire de faire compliquer pour prendre plaisir, tu me ré- invites quand tu veux et bien là on passe un autre cap.
On voit les choses différemment car on entre dans la cour des " grands " certes on ne peut pas rivaliser avec les excellents danseurs, mais l'on peut apporter à nos cavalières un bonheur certain.
Étant passé de l'autre côté de la barrière, on voit les choses diffèrement, le tango n'est pas snob, il est comme il doit être, avec des règles et coutumes, et heureusement, si non tout fout le camp, aussi vite que l'eau du bain, et que restera t - il, je vous le demande ?
Alors à vous de passer le cap, celui de vous sentir à l'aise avec les autres, surtout les Tanguéras, car pour ce qui est des tanguéros, respect, c'est tout.
Cordialement